FÉVRIER - MARS 2021

Le racisme anti-Blancs, perspective nietzschéenne

par Anatoly LIVRY


« Autrefois vous étiez singe et maintenant encore l'homme est plus singe qu'un singe.»
Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra

Nous sommes, dans notre Occident, à la veille d'une vague d'extermination des peuples blancs, génocide tant psychique, mental que corporel. Cette prévision est d'une certitude absolue. Suivant les tendances que nous indiquent nos gouvernants réels sans-frontiéristes, l'âme d'aucun peuple blanc ne doit subsister. Ils ne se dissimulent même plus : les ethnies blanches doivent être anéanties, avec toutes leurs structures verticales où le père est le garant d'une famille normale, soutenu par une mère apaisée élevant les enfants au Verbe, aux mythes et aux rythmes de leurs aïeux.
Les seuls Blancs autorisés à survivre seront des anthropoïdes débordant du ressentiment de la Selbsthass, aliénés méconnaissant leur sexe et leur civilisation, tous agenouillés devant des tribus sauvages allochtones qui seront importées d'autres continents où des guerres pleinement démocratiques (car perturbant la structure ethnique ancestrale) auront été déclenchées par des fanatiques adorant cet égalitarisme qui doit nous transformer en ce bipède sans race ni culture ni sexe, lequel, au bout de quelques générations, se remettra paisiblement à quatre pattes avant de s'effacer pour libérer la Terre de ce singe dégénéré naguère trop confiant dans sa sapientia arrogante.
C'est bien Nietzsche qui a épinglé ce moment de l'histoire de l'homme blanc où, dans cette Égypte se situant aux confins de l'Occident et de l'Orient, une perversion prétentieuse a brisé la structure tripartite en castes d'oratores, bellatores et laboratores inhérente à l'humanité en cristallisant dans une nouvelle entité civique l'ensemble des esclaves et des affranchis alexandrins flattés par leurs maîtres dans un discours les incitant à une vengeance perpétuelle : « […] die alexandrische Cultur braucht einen Sclavenstand, um auf die Dauer existieren zu können: aber sie leugnet, in ihrer optimistischen Betrachtung des Daseins, die Nothwendigkeit eines solchen Standes und geht deshalb, wenn der Effect ihrer schönen Verführungs und Beruhigungsworte vor der „Würde des Menschen“ und der „Würde der Arbeit“ verbraucht ist, allmählich einer grauenvollen Vernichtung entgegen. Es giebt nichts Furchtbareres als einen barbarischen Sclavenstand, der seine Existenz als ein Unrecht zu betrachten gelernt hat und sich anschickt, nicht nur für sich, sondern für alle Generationen Rache zu nehmen.  » 1. C'est ainsi que la dialectique de Socrate l'athénien, qui a profané cet art aristocratique en le mettant à la portée de la foule et de notables pervers2, a trouvé sa réalisation putschiste, véritable point de bascule de notre univers car, désormais, chaque crasseux flanqué de sa compagne éternellement insatisfaite dispose d'une base « philosophique » qui lui donne droit à une vendetta ancestrale. Seize ans après nous avoir alertés dans La Naissance de la Tragédie, Nietzsche attire notre regard sur cette catégorie d’esclaves modernes, toujours remplis d’une haine vindicative pareillement entretenue par une intelligentsia mue par le dégoût de soi, les marxistes ayant remplacé la malsainité d’un Silène athénien obsédé de fantasmes pédérastiques : « Man hat den Arbeiter militärtüchtig gemacht, man hat ihm das Coalitions-Recht, das politische Stimmrecht gegeben: was Wunder, wenn der Arbeiter seine Existenz heute bereits als Nothstand (moralisch ausgedrückt als Unrecht –) empfindet? Aber was will man? nochmals gefragt. Will man einen Zweck, muss man auch die Mittel wollen: will man Sklaven, so ist man ein Narr, wenn man sie zu Herrn erzieht. – »3.
Maintenant, un siècle et demi plus tard, nous pouvons être nostalgiques même de ces prolétaires germano-, franco- ou russophones qui, pour appliquer leur loi du talion, s’élevaient par une instruction les forçant à apprendre la culture de leurs maîtres pour mieux les annihiler. Mieux encore : le message de Marx et d’Engels, perfectionné par la tekhnè d’un Lénine qui l’a rendu pratiquement utilisable et victorieux, obligeait les révolutionnaires à un exercice permanent de discrimination en vue d’aiguiser les nuances de leur analyse marxiste-léniniste pour mieux définir ou cerner leurs ennemis à abattre. Voilà la raison pour laquelle l’école soviétique préparait des élites authentiques aguerries par l’usage du Logos, lequel, malgré le nivellement par le bas que représente l’idéologie de la « tschandala socialiste »4, a été une source d’élévation personnelle pour quiconque suivait pleinement cet enseignement.
Mais voici venu le temps où, pour briser l’aspiration de l’être humain à son perfectionnement total, l’on vise la démolition des ethnies-guides de cette humanité que sont les ethnies blanches. L’on enlève la nécessité d'exceller à l’homo sapiens sapiens. L’on massacre la famille normale qui est la matrice de l’humanité. L’on métisse les foules écervelées méprisant leurs mythes et leur histoire ethniques et, pour accomplir cet holocauste, l’on se saisit de cet esprit de vengeance de l’esclave alexandrin envers le beau et le vrai, acmé de la création qu'était autrefois le καλὸς κἀγαθός mais qu'incarne désormais n'importe quel mâle blanc. Plus besoin de se forger une lecture révolutionnaire en s'appuyant, bien qu’en apparence seulement, sur Platon, tout héritage antique est destiné à être banni de nos universités5. La rhétorique et les Belles-lettres deviennent suspectes aux yeux de ces commissaires politiques à quoi se réduisent maintenant nos professeurs universitaires rémunérés par des États dont l’unique religion est le racisme anti-Blancs.6 Quant à la simple possibilité de nommer cette liquidation raciale des nations blanches, elle devient elle-même pénalement condamnable suite à la promulgation de lois iniques sous l'action de ces racistes anti-Blancs qui se sont engagés dans la destruction de ces familles blanches dont ils répugnent jusqu’aux gènes7 pour mieux briguer les fonctions suprêmes de nos « républiques ».
Dès lors, l’enseignement des mythes, des cultures, de l’histoire et des lettres des peuples blancs devient impossible dans de nombreux États d’Occident où le Congoïde et le Sémite, même si fraîchement arrivés, remplacent l’esclave alexandrin du royaume des Lagides. Il faut donc que les rescapés psychiquement sains des peuples blancs abandonnent leurs territoires à des races hostiles animées par une haine bestiale sans cesse croissante et se regroupent dans des contrées où ils constitueront les troupes d’une future reconquista blanche. Voilà le conseil hippocratique que je donne à nos peuples de cette Europe subissant la mélanisation, recommandation s'inscrivant dans la suite du diagnostic que j'avais posé il y a déjà une décennie dans ma thèse de doctorat – si insupportable au système génocidaire anti-Blancs qu'il en avait ordonné le plagiat8.

A.L.

NOTES ET RÉFÉRENCES

1. Friedrich Nietzsche, Die Geburt der Tragödie aus dem Geiste der Musik dans KSA, Walter de Gruyter, Berlin – New York, 1989, t. 1, p. 117. « [...] pour pouvoir durer, la culture alexandrine a besoin d’une classe d’esclaves, mais, dans sa conception optimiste de l’existence, elle dénie la nécessité de cet état ; aussi, lorsque l’effet de ses belles paroles trompeuses et lénitives sur la « dignité de l’homme » et la « dignité du travail » est usé, elle s’achemine peu à peu vers un épouvantable anéantissement. Rien n’est plus terrible qu’une barbare classe d’esclaves, qui a appris à regarder son existence comme une injustice et se prépare à en tirer vengeance non seulement pour soi-même, mais encore pour toutes les générations à venir. » : Friedrich Nietzsche, La Naissance de la tragédie dans Œuvres, Éditions Robert Laffont, Paris, 1993, t. 1, p. 102.
2. « Unsere ganze moderne Welt ist in dem Netz der alexandrischen Cultur befangen und kennt als Ideal den mit höchsten Erkenntnisskräften ausgerüsteten, im Dienste der Wissenschaft arbeitenden theoretischen Menschen, dessen Urbild und Stammvater Sokrates ist. » : Friedrich Nietzsche, Die Geburt der Tragödie aus dem Geiste der Musik dans KSA, op. cit., p. 116, Nietzsche souligne. « Tout notre monde moderne est pris dans les filets de la culture alexandrine et a pour idéal l’homme théorique, armé des moyens de connaissance les plus élevés, travaillant au service de la science, et dont le prototype et ancêtre originel est Socrate. » : Friedrich Nietzsche, La Naissance de la tragédie dans Œuvres, op. cit., p. 101, c’est Nietzsche qui souligne.
3. Friedrich Nietzsche, Götzen-Dämmerung dans KSA, op. cit., t. 6, p. 143, Nietzsche souligne. « On a rendu l’ouvrier apte au service militaire, on lui a donné le droit de coalition, le droit de vote politique : quoi d’étonnant si son existence lui apparaît aujourd’hui déjà comme un état de détresse (pour parler la langue de la morale, comme une injustice –) ? Mais que veut-on ? Je le demande encore. Si l’on veut atteindre un but, on doit en vouloir aussi les moyens : si l’on veut des esclaves, on est fou de leur accorder ce qui en fait des maîtres. » : Friedrich Nietzsche, Le Crépuscule des Idoles dans Œuvres, op. cit., t. 2, p. 1015, c’est Nietzsche qui souligne.
4. Cf. à ce propos : « Wen hasse ich unter dem Gesindel von Heute am besten? Das Sozialisten-Gesindel, die Tschandala-Apostel, die den Instinkt, die Lust, das Genügsamkeits Gefühl des Arbeiters mit seinem kleinen Sein untergraben, – die ihn neidisch machen, die ihn Rache lehren ... Das Unrecht liegt niemals in ungleichen Rechten, es liegt im Anspruch auf ‹gleiche› Rechte ... Was ist schlecht? Aber ich sagte es schon: Alles, was aus Schwäche, aus Neid, aus Rache stammt. – Der Anarchist und der Christ sind Einer Herkunft [...]. » : Friedrich Nietzsche, Der Antichrist dans KSA, op. cit., p. 244, Nietzsche souligne.
5. Cf. p. ex. : « University students demand philosophers such as Plato and Kant are removed from syllabus because they are white » : The Telegraph, Londres, 8.1.2017, https://www.telegraph.co.uk/education/2017/01/08/university-students-demand-philosophers-including-plato-kant/.
6. Cf. p. ex. : « Il faut brûler la recherche postcoloniale: l’Empire contre-attaque », Mediapart, Paris, le 29 décembre 2019, https://blogs.mediapart.fr/pascal-blanchard-achac/blog/271219/il-faut-bruler-la-recherche-postcoloniale-l-empire-contre-attaque.
7. Je pense bien sûr à Christiane Taubira, « Voilà plus de quinze ans que l’Etablissement français du sang a déménagé, pas de banque de sang sur place, tout le sang vient d’ailleurs, avec son capital génétique. » dans « En Guyane, les services publics ne sont pas à la hauteur de l’égalité républicaine », Le Monde, Paris, le 13 juillet 2020, https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/07/13/christiane-taubira-en-guyane-les-services-publics-ne-sont-pas-a-la-hauteur-de-l-egalite-republicaine_6046102_3232.html.
8. Sur le plagiat de ma thèse de doctorat Nietzsche et Nabokov (2011) volée par un clan franco-israélo-américain : cf. Dr Anatoly Livry, « La pathocratie et les contre-élites » in Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscou-Tsukuba, volume 13, n° 6, juin 2020, p. 901-910, http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/13-06-2020.pd-901-910.pdf.

Dr Anatoly Livry, Altdorf, S

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